Fragments d’âme
Par Justin Delareux
Ce que j’ai pu comprendre de Dionys Mascolo, et depuis ces lectures, donc depuis ses textes, c’est la proposition mise en partage d’un communisme sensible, inouï. Je peux dire sans trop de honte que j’y ai trouvé une camaraderie rare, une complicité distanciée par le livre, suggérant quelque chose de proche, faisant écho ou appel. Ce quelque chose m’est encore assez difficile à nommer, c’est un quelque chose qui se passe de citation, puisqu’il ne se réfère pas à ce qui est écrit, mais bien à ce que l’écrit dit en dehors de sa propre matérialité, c’est à dire en dehors du matériellement lisible. Et cet en dehors du lisible, j’ai su le reconnaître là où un communisme véritable prenait vie, il ne s’agit pas d’une impression, mais bien d’une expérience depuis l’impermanence.
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